Vient le moment où, blogueur, on cherche quelques ancrages dans le blogosphère. Le premier reflex est d’aller vers les autres, leur laisser un mot et son url. Ainsi se tisse la trame du blogosphère… j’y étais de ce pas à maintes reprises, surtout chez mes compatriotes blogueurs, esprit du troupeau oblige. Pöur mon malheur, j’y ai trouvé les mêmes travers que l’on reproche d’habitude à nos partis politiques, le culte du leadership, de la zaâama. On ouvre son petit blog et on veut en faire ...
Pourquoi ce blog? Ce n'est qu'au quinzième jour que je me rends compte qu’il me reste à définir la ligne disons éditoriale -j'allais dire blogoriale- de ce carnet . Jusque-ici, je ne faisais qu’écrire. Même si c’est encore de façon désordonnée, ... juste écrire, me disais-je, et au diable Sidi H’mad u’Muça! Un préalable donc à faire avant que d’y aller. Impérativement. Sinon, je me ferais prendre à la chaleur du banquet et risquerais d'écraser, chemin faisant, bien des orteils... just...
je pars pour un nouveau weblog :
Ilme faudra donc changer de clavier, maintenant que latouche « e » n’est plusergonomiquement du monde, délinéamentéenl’occurrence aux 26 graphies disposé diversementau hasard d’un intellect etd’un clavier. Presque à chaque mot, je doism’y essayer à deux, trois, voirequatre reprises pour le plus anodins des mots... au risque de passerà côté dece que je voulais écrire initialement. Quand on sait quecette voyelle estparmi les plus usuelles de la langue française le seul hommequ...