Au fort de l’épreuve qui a opposé le Maroc à l’Espagne au sujet de Toura/Perejil, un insignifiant rocher inhabité d’à peine quelques mètres des cotes marocaines. Onze soldats marocain y avaient débarqué quelques jours seulement après les noces du souverain marocain. La diplomatie algérienne s’était suffis d’une petite phrase assassine : Le Maroc met ses voisins devant le fait accompli. La phrase, jusque dans sa formulation, ne peut être que l’œuvre de Bouteflika himself. Et c’était une allusion à la Marche Verte, qu’ont faite 350 000 Marocains pour récupérer ce qu’était alors le Sahara Occidental, c’était en 1975…
Sur le coup, j’ai jugé la sentence désagréable à entendre, mais voilà : je donne de plus en plus raison à l’homme chaque fois qu’on me fait faire une photocopie et une fois celle-ci en main, l'on me tend alors un billet de banque de 200 DHs (pour 0.5 dh). Une fois même, un monsieur m’a joué ce coup somme toute marocain : il me demande un chewing-gum, le fourre dans sa gueule et me tendit ce putain de billet que j’ai refusé de prendre sous prétexte que les lundis le chewing-gum est gratis et que pour avoir la monnaie, il fallait voir ailleurs ...
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Lors de cet incident, Les Anglais y étaient allés de leur humour, the D. Telegraph, si je ne m’abuse en appelait au british frame of mind : Que font les Marocains pour fêter les noces de leur monarque ? Réponse : ils débarquent chez les voisins.
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