L’Histoire
nous
enseigne que les Berbères ne s’étaient
jamais Accommodés
d’une religion
« standard ».
A chacune de leur conversion, ils marquaient toujours le pas un premier
temps,
quand le rapport de force les y avaient acculés, pour
bifurquer après une fois
leur nouvelle religion assimilée jusque dans ses moindres
détails. Il en était
ainsi avec le judaïsme mais surtout
avec
le christianisme. L’exemple le plus cité
à ce niveau est le donatisme qui est
en grande partie un fait berbère, faut-il le souligner, mais
aussi les Circoncellions
qui pourraient, comme expression du mécontentement populaire,
aisément passer pour son
illustration, son action directe devrais-je extrapoler :
l’adéquation de
la foi aux racines, aux origines, au terroir, à
l’identité. Mais combien de
nous MAROCAINS conviendraient à ce que notre islam
soit non pas assujetti
aux injonctions téléguidées, venant
d’ailleurs, mais aux résonances vaginales,
les nôtres propres...