Lors d’un reportage télé qui traite d’écologie, à la RTM donc, on pose la question suivante à un Marocain, un « revendeur » de viande : Pourquoi est-ce qu’on continue à se provisionner aux abattoirs ruraux , à l’hygiène plus que douteuse, au dépens de ceux de Casablanca, modernes et moins sales ? - c’est que la viande des abattoirs modernes n’est pas ...bnina (délicieuse …) Les scènes du reportage sont de nature à provoquer des haut-le-cœur. Tant de saletés, de crasse … qu’elles dégoû...

Le sait-il ? Ce Petit Marocain, quand il noie chaque matin que Dieu fait son bout de croissant tout chaud dans le fatidique Nass Nass fumant ? Il est dit que les Turques avaient assiégé Vienne pendant trois mois. Les 120 000 spahis de Souleiman le Magnifique croyaient ces « gouars » à court de farine et finiraient bien par se rendre, quand ils n’auraient plus rien à se mettre sous la dent… trois mois à poireauter ainsi devant les remparts de cette ville alors qu’à l’intra-muros, rac...

Le sait-il ? Ce Petit Marocain, quand il noie chaque matin que Dieu fait son bout de croissant tout chaud dans le fatidique Nass Nass fumant ? Il est dit que les Turques avaient assiégé Vienne pendant trois mois. Les 120 000 spahis de Souleiman le Magnifique croyaient ces « gouars » à court de farine et finiraient bien par se rendre, quand ils n’auraient plus rien à se mettre sous la dent… trois mois à poireauter ainsi devant les remparts de cette ville alors qu’à l’intra-muros, rac...

Il a fallu tout le génie d’un Takfarinas pour faire danser et remuer les fesses à 70 000 000 millions de maghrébins sur un tempo à la gloire des Imazighen. Connaisssant nos frères les Arabes il s’y seraient refusés si on leur avait dit de quoi retourne-t-il dans cette chanson : Zama, une victoire de Masinissa sur Hannibal 202 avant J.C., de cette guerre, le français aura lexicalisé, dans la foulée, un vocable guerrier : sagaie, un javelot primitif. zaama zaama.

Ils ne s’adressaient les uns aux autres qu’avec le surnom d’el Hadj et cela ne présageait rien de bon. De ma vie je ne m’étais entendu avec un hadj qui vaille et le seul mérite que je reconnaissais à mon géniteur était justement de n’avoir jamais été à la Mecque. C’était pour ainsi dire son signe particulier au milieu d’une smala où les neuf dixièmes des hommes et des femmes étaient hadj une fois, deux fois, voire sept fois. Dis-moi combien de fois étais-tu à la Mecque et je te dirais qui es-...

Ils ne s’adressaient les uns aux autres qu’avec le surnom d’el Hadj et cela ne présageait rien de bon. De ma vie je ne m’étais entendu avec un hadj qui vaille et le seul mérite que je reconnaissais à mon géniteur était justement de n’avoir jamais été à la Mecque. C’était pour ainsi dire son signe particulier au milieu d’une smala où les neuf dixièmes des hommes et des femmes étaient hadj une fois, deux fois, voire sept fois. Dis-moi combien de fois étais-tu à la Mecque et je te dirais qui es-...

Fidèle à ses habitudes, le retraité du MEN, celui-là même qui m’achetait quotidiennement l’Opinion et me léchait par la même occasion la vitrine, était venu m’offrir son numéro istiqlaliste, à 17 heures trente donc. Un authentique show. Son manège est simple : ne payer son canard qu’après avoir lu les autres. Tous les autres. L’exercice peut prendre parfois jusqu’à une heure, vus sa vue qui baisse et les lunettes, épaisses, qui vont avec. Je le laisse faire et ne l’accroche qu’une fois son...

Fidèle à ses habitudes, le retraité du MEN, celui-là même qui m’achetait quotidiennement l’Opinion et me léchait par la même occasion la vitrine, était venu m’offrir son numéro istiqlaliste, à 17 heures trente donc. Un authentique show. Son manège est simple : ne payer son canard qu’après avoir lu les autres. Tous les autres. L’exercice peut prendre parfois jusqu’à une heure, vus sa vue qui baisse et les lunettes, épaisses, qui vont avec. Je le laisse faire et ne l’accroche qu’une fois son...

Curieux rêve que j’ai fait la nuit d’hier. Je m’étais vu sommer de décoder tous les pseudos usités sur le net marocain. Ils étaient trois bonhommes, tout en muscles, à me poser d’étranges questions dans une chambre noire. Sur le coup j’avais du mal à y reconnaître Tazmamart, Dar Mokri … tellement elle sentait propre, la chambre, que je m’étais rappelais encore une fois l’expression de Robert Musil : l’homme moderne né dans une clinique et meurt dans une clinique : il faut que sa demeure resse...

Curieux rêve que j’ai fait la nuit d’hier. Je m’étais vu sommer de décoder tous les pseudos usités sur le net marocain. Ils étaient trois bonhommes, tout en muscles, à me poser d’étranges questions dans une chambre noire. Sur le coup j’avais du mal à y reconnaître Tazmamart, Dar Mokri … tellement elle sentait propre, la chambre, que je m’étais rappelais encore une fois l’expression de Robert Musil : l’homme moderne né dans une clinique et meurt dans une clinique : il faut que sa demeure resse...

Encore un bristol à mettre bien en vue. A l’entrée…Peut-être gagnerais-je cette fois-ci à ce que ce soit écrit avec conviction comme s’il y va de mon extrême-onction : JE NE M'APPELLE PAS MOH'MMAAAD ! Je conviens à ce qu’on appelle Smith tous les forgerons de la Perfide Albion et Schneider les tailleurs titans. Mais voilà : au Maroc, tous les épiciers ne s’appellent pas Mohmmad -Da Moh peut-être. Non seulement je porte un prénom impersonnel, généralisable à l'ensemble du règne animalier, mais...

Nous sommes quelques uns à trouver à l’actuelle conjecture quelques similitudes avec la France du 19ème siècle. Les juifs d’alors disaient que pour qu’un intellectuel en soit vraiment un, il lui fallait aborder « la question juive ». S’en suivit alors une série d’articles, d’essais sur la question. Nous savons à peu près les réactions des uns et des autres et même la suite qu’en ont donnée des intellectuels allemands, anglais, russes... Nous savons tout aussi ce qu’il en était devenu, le siè...

Si l’on me donne le droit de vie ou de mort sur les 30 000 000 de Marocains, je prendrai les décisions suivantes : 1 – je supprimerai le vendredi des jours de la semaine. Quoique les premiers articles ne se motivent pas et sont le plus souvent irrationnels j’ose évoquer ici une raison très simple : je hais le couscous. 2 – j’interdirai aux Marocains l’usage du stylo à bille et les obligerai à écrire avec le crayon. Ainsi ils sauront qu’ils sont loin de détenir la Vérité et qu’ils « f...

J’ai mis du temps à observer mes compatriotes, à les épier, à les analyser … depuis mon comptoir. Force m’est de convenir de leur jusqu’auboutisme Et de leur extrémisme dans tout ce qu’ils entreprennent. Dans leur façon d’aimer leurs femmes et de les tromper ; Dans leur manger et boire ; Quand il leur arrive de descendre dans la rue pour manifester leur soutien Inconditionnel à leur Palestine spoliée, Et à leur Irak désaddamisé ; (à l’exclusion de tous les autres damnés de...

Je persiste à croire que les Années Basri ne doivent en aucun cas être évacuées de notre mémoire collective avec pour ainsi dire perte et fracas. Il y a lieu de s’en inspirer pour revigorer notre système éducatif pour ne citer que ce maillon faible de l’ensemble du système marocain. Cette idée m’était venue à l’esprit comme une illumination, un satori juste après une discussion avec une fille de Oued Zem affectée en tant qu’institutrice quelque part, au fin fond des Monts Zbarbars, dans la r...